L'Énigme des Invalides

Je confirme, Diana...

merci diana !!
me voila prévenu.

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«Les esprits sont comme les parachutes, ils ne fonctionnent que lorsqu'ils sont ouverts.» Pierre Desproges

Avec du retard, j'apporte mon petit grain de sel...
Il est certain que Napoléon a éprouvé une grande passion pour Joséphine, mais à partir du moment (en Egypte) où il s'est aperçu qu'il avait été trompé...il y a eu un revirement magistral !!!
S'il a renoncé au divorce, c'est sur les instances de Barras et de ses amis pour des raisons politiques ; le moment était mal venu....
Il ne la haïssait peut-être pas, mais la passion était bien éteinte...
Du reste, le nombre incalculable de maîtresses qu'il a eues par la suite montre bien qu'il en était ainsi.
Il ne faut pas oublier qu'il était sur le point d'être réellement amoureux de Mme Dûchatel ; il l'a été de Marie Walewska et peut-être l'aurait-il été de Marie-Louise si le mariage avait duré plus longtemps.
Mais il est vrai qu'il n'était pas de bon ton de l'avouer, cela passait pour de la faiblesse à l'époque (et peut-être aussi de nos jours )!!!

Peut-être l'Empereur n'était pas un grand sentimental, mais sensuel certainement.


"Je crois, cependant, quoique j’aimasse bien Marie-Louise, que j’avais plus aimé Joséphine. C’est naturel, je m’étais élevé avec elle, et puis c’était une vraie femme, celle que j’avais choisie. Elle était pleine de grâce pour se mettre au lit, pour s’habiller. J’aurais voulu qu’un Albane la vit alors pour la dessiner…Je ne l’aurais jamais quittée si elle avait pu avoir un enfant, mais,ma foi !..."

(propos de l’Empereur à Sainte-Hélène)

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«Les esprits sont comme les parachutes, ils ne fonctionnent que lorsqu'ils sont ouverts.» Pierre Desproges

D'accord avec vous chère Diana, mais comme il dit : " je ne l'aurais jamais quittée etc..." n'empêche pas qu'il l'a beaucoup trompée...
C'était fort confortable pour lui !! (Eternel problème)

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Fran/Antonietta

Il n'y a pas d'âge pour aimer...

Mais, on n'aime pas de la même façon à 3 ans ou à 93 ans !

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" Mes amis comptent plus que mes idées "

Talleyrand confiera un jour à Caulaincourt qu'il regrettait que l'amour ait rarement été pour Napoléon "un besoin et peut-être même un plaisir".
Quant à l'Empereur, il dira plus tard à Gourgaud à propos de Marie Walewska : "C'est Talleyrand qui me l'a procurée; elle ne s'est pas défendue."
"Il avait toujours ses poches pleines de femmes", dira-t-il encore sans penser que son ministre jouait le rôle très classique du grand seigneur entremetteur, dans la tradition de l'ancienne cour.